Elle marchait seule dans les rues désertes,
Un cœur en quête d'une étincelle,
Ses rêves s'effacent dans le silence,
Elle cherche quelqu'un, une chance nouvelle.
Des nuits sans fin à se demander,
Si l'amour viendra pour l'enlacer,
Dans ses yeux, l'éclat de l'innocence,
Mais le monde autour ne fait plus sens.
Puis il est arrivé, mystérieux, attirant,
Avec des promesses, des mots enivrants,
Un regard qui brûle, qui la fait vibrer,
Elle se perd dans ce jeu insensé.
C'est comme un mirage dans le désert,
Une illusion qui la tient en l'air,
Il est charmeur, mais tout s'efface,
Un sourire, et elle perd sa trace.
(Comme un mirage... qui la dévore.)
Elle plonge plus profond dans ses bras,
Ses mots l'envoûtent, elle perd ses envies,
Elle s'oublie, efface ses limites,
L'amour la lie à ce fil si fragile.
Mais parfois elle sent une ombre passer,
Dans ses mots doux, une vérité cachée,
Le doute grandit, la méfiance s'installe,
Mais elle hésite, ne veut pas voir le mal.
Les signes sont là, si subtils, si discrets,
Elle ferme les yeux, se laisse emporter,
Mais son cœur sait qu'il y a danger,
Elle marche sur une corde brisée.
C'est comme un mirage dans le désert,
Une illusion qui la tient en l'air,
Il est charmeur, mais tout s'efface,
Un sourire, et elle perd sa trace.
(Comme un mirage... qui la dévore.)
Puis un jour, la vérité éclate,
Elle voit clair, le masque se casse,
Ses mensonges, un piège bien tissé,
Elle se libère, elle peut enfin respirer.
Le pouvoir qu'il avait sur elle s'effondre,
Elle retrouve ses forces, elle veut se défendre.
Ce n'était qu'un mirage dans le désert,
Une illusion qui la tenait en l'air,
Il était charmeur, mais tout s'efface,
Maintenant elle reprend sa place.
(C'était un mirage... qui s'efface.)
Elle marche seule, mais elle est plus forte,
Les leçons gravées, une porte se ferme,
Plus jamais elle ne se laissera prendre,
Elle avance, vers des jours meilleurs.